Album photo : "Chiang Mai"

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Nous quittons Bangkok en train le lundi 25 mars 2008, à midi. Nous voyageons toujours en troisième classe mais cette fois-ci nous avons des places assises sur les banquettes en bois. Il n'y a pas de voiture restaurant mais il est possible de commander à manger. Le repas, une assiette de riz avec du poulet ou du poisson, nous est apporté à notre place, les couverts sont une fourchette et une cuiller. On n'utilise pas de couteau à table en Thaïlande, tout est déjà coupé en petits morceaux. Nous arrivons à Chiang Mai le mardi matin. Nous avons trouvé à nous loger dans une auberge de jeunesse, située dans une école. A la fin du séjour, le jour de notre départ, le 2 avril matin, nous nous apercevons que sont disparus 700 bahts thaïlandais dans le sac à dos d'André et mes quatre dernières pellicules vierges de Kodachrome II, 36 poses, dans le mien.

Nous avons parcouru les 700 km de Bangkok à Chiang Mai en 18 heures de train. Nous arrivons le 26 mars à 6 heures du matin. Pour visiter la ville et les environs nous louons des bicyclettes. Nous repartons en train le deux avril et sommes de nouveau à Bangkok le mercredi trois à 6 heures du matin. Le jour suivant, nous prenons un vol de la compagnie Air Vietnam pour Phnom Penh, capitale du Cambodge.
Vue de la cour de l'école où nous logeons (nous sommes à 300 mètres d'altitude), la montagne Doi Suthep qui atteint la hauteur de 1600 mètres à seulement 12 km de distance, reste cachée par la brume pendant la journée. On ne l'aperçoit que le soir quand le soleil l'éclaire de l'arrière. 
Cette brume, due à la poussière dans l'atmosphère en fin de saison sèche, restera jusqu'à l'arrivée de la mousson.
Une dizaine de kilomètres au sud de Chiang Mai, un buffle en train de brouter dans une rizière asséchée.
Des autres rizières en eau.
Une porte du temple bouddhiste Wat Phra That sur la montagne du Doi Suthep. Nous avons monté avec les bicyclettes de 1300 mètres en seulement 18 km. Nous avons cependant parcouru la partie finale à pieds en poussant les vélos. 
Ce temple contient une relique du Bouddha et la légende dit que c'est un éléphant blanc qui a choisi l'emplacement de sa construction : Transportant la relique, il est monté sur la montagne et après avoir barri trois fois et tourné trois fois sur lui même, il est tombé et est mort en ce lieu.
Des fidèles en prière dans le temple Wat Phra That, sur le Doi Suthep.
Au sommet du grand escalier de 309 marches qui mène de la route au temple Wat Phra That.
Un arbre en fleurs sur le côté du grand escalier.
De chaque côté du grand escalier, un Naga (serpent) à sept têtes sert de rampe. Son corps est couvert d'écailles en céramique. Les têtes sont dans le bas et la queue en haut de l'escalier.
Un zébu dans une rizière, il est attaché grâce à un système à balancier qui empêche la corde de traîner sur le sol.
A 70 km au sud de Chiang Mai, nous sommes allés voir les chutes de Mae Klang où nous avons trouvé un peu de fraîcheur après avoir pédalé longuement sous le soleil.
Près des chutes, il est possible de se baigner dans l'eau fraîche. Il y a, entre autres, des militaires américains en permissions. Nous rentrons à Chiang Mai, vers sept heures du soir, un peu fatigués par les 140 kilomètres parcourus. Nous devons ajouter que, aussi bien aujourd'hui que quand nous sommes montés au Doi Suthep, nous avons eu un certain succès auprès des gens qui nous voyaient passer sur nos vélos.
Rizière en eau et, au second plan, un laboureur guidant son antique charrue traînée par un zébu.
Arbustes fleuris.
Moi, près de la rivière Mae Ping, à 15 km au nord de Chiang Mai. Derrière, de nombreuses norias dans le lit de la rivière et une passerelle en bambou.
Vue de la noria voisine de la passerelle. L'ensemble est entièrement en bambou. La roue est entraînée par le courant. Des récipients sont fixés sur la périphérie de la roue. Ces récipients prélèvent de l'eau lorsqu'ils passent dans la rivière et se vident, quand ils arrivent en haut, dans une gouttière qui se prolonge par un tuyau qui conduit l'eau dans un canal d'irrigation, sur la rive.

 

 

 

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